NUMÉRO 61 | 2020
À contre-fil de la technologie : mesure et autonomie
Éditorial
p. 5par Jean-Paul Deléage, Jacques Luzi
Dossier
Coordination : Jacques Luzi et Mathias Lefèvre
Les sociétés industrielles sont des (im)mondes technologiques. Les technologies y sont omniprésentes dans toutes les dimensions de l’existence et cette dépendance aux artéfacts ne cesse de s’accentuer avec l’expansion des nouvelles technologies, servant la pseudo-transition énergétique et numérique. La neutralité de cette accélération technologique, comme de sa capacité à surmonter les nuisances industrielles, est un leurre. Ne pas y succomber suppose au contraire de s’interroger sur ses conséquences environnementales et humaines, culturelles et politiques, et, plus généralement, sur la place qu’occupent les techniques dans les rapports villes-campagnes, en fonction du sens donné à la liberté, à la « vie bonne » et à la démocratie. La critique du progrès technologique porté par l’imaginaire de la maîtrise a donc pour corollaire le soutien aux projets cherchant à développer des techniques dont la finalité serait le progrès de l’autonomie d’humanités réaffirmant leur appartenance à la Terre.
-
p. 13par Mathias Lefèvre, Jacques Luzi
-
p. 27par Adrián Almazán Gómez
-
p. 45par Silvia Pérez-Vitoria
-
p. 61par Jacques Luzi, Aurélien Berlan
-
p. 79par José Ardillo
-
p. 95par Tomjo
-
p. 109par Chellis Glendinning
-
p. 117par Christophe David
-
p. 137par Jacques Luzi
Variations
Sources et fondements
Notes de lecture
-
p.187par Michèle Descolonges
-
p. 189par Jacques Luzi
-
p. 192par Jean-Paul Deléage
-
p.194par Jacques Luzi
-
p. 197par Jean-Claude Debeir
Bâtiment C - 69, avenue Danielle Casanova - 94200 Ivry-sur-Seine - France -
redaction@ecologie-et-politique.info